lundi 4 février 2013


L'origine du pantalon féminin: Amelia Bloomer, 1851

Employée des postes, elle édita la revue The Lily, consacrée principalement à la tempérance mais qui ouvrit largement ses colonnes aux militantes du droit des femmes comme Elizabeth Cady Stanton[1]. Bloomer devint célèbre en raison son combat pour la réforme vestimentaire, en défendant un « ensemble composé d’une jupe courte portée sur un pantalon à la turque »[2] qui devait permettre une aisance de mouvement que n’offraient pas les longues robes de l’époque. Ces culottes bouffantes, qui prirent le nom de « bloomers », furent largement décriées et raillées par la société de son temps qui dénonçait leur inconvenance mais trouvèrent leur usage à partir des années 1890-1900, notamment dans la pratique de la bicyclette.


L’évolution du pantalon féminin

 1851 : Amélia Bloomer et son bloomer, anti-crinoliniste

1895 : Pantalon de vélocipédiste

1920 : Pyjama d’hôtesse à la garçonne

1930 : Pyjama de plage ou de casino

39-45 : Jupe-culotte pour le vélo et tailleur

1950 : Pantalons corsaires et blue-jeans

1960 : Le tailleur pantalon d’Y. St-Laurent

1970 : Jean et T-shirt, unisexe

1975 : Robe pantalon du disco

1980 : Joggings

1990: Legging



Verre soufflé démodé,
Acheté par mon amie Lise , antiquaire. Trente-cinq dollars, pas cher me dit-elle.
Années soixante. J'ai recadré la photo et y ai vu une lumière transformant la matière, celle d u verre. Étirement.
Vous me direz qu'il n'y a pas de rapport avec A. Bloomer , disons que je m'attarde au démodé.

samedi 2 février 2013

Technologie et sexualité
Prostitution, pornographie, internet
Les villes avaient amené les bordels, concentrer les filles dans un lieu d’utilisation où elles seraient relativement protégées par les maquerelles.
Ces maisons ont été abolies progressivement dans les années 20 et avec l’avènement du téléphone , les call-girls recevaient leur client ou allaient au r.v. accompagnées de leur pim. Souvent , elle faisaient la rue, filles vitrines.
Elles n’y sont plus. Ni bordel, ni rue, elles sont au chaud sur internet , ont leur blogue de montreuse , assistées de web cam et autre technologie grandissante , les « capture ». Certaines sont très habiles et ne seront jamais touchées. N’oublions pas que cette émancipation des travailleuses du sexe est aussi celle des travailleurs. Ils auront une large clientèle d’hétéro voulant explorer une autre sexualité, la forte, la phallocrate.
L’égalité des sexes dans la prostitution ou pornographie est maintenant effective. Ces deux opportunités vont se jumeler pour hommes et femmes..sûrement plus pour les hommes plus extérieurs dans leur exposition.
Youk
samedi 2 février 2013