lundi 15 février 2010

Le corps des hommes, les yeux des femmes

Codes vestimentaires de jeunes adultes: la casqette Nike de la femme , son sac Vuitton, cheveux longs blonds. Elle a son cell à la main droite. Lui a des lunettes, il se tient droit ,a une barbe jeune et un tatoo discret sur son beau bras. J'espère qu'elle l'a vu

Homme endormi au parc de La Frayère.
Photographe photographié à la Rivière aux pins.

Grâce à mon appareil photo
L'homme, mesure de toutes choses. Ruines du Parc de Brouage, XVIIIe s..

 Cuisinier endormi sur une place publique. Les yeux .


Jeune homme assistant à un défilé de mode, le 7 août 2010. Les épaules. Rue Mc Gill.





Spencer Tunic, vers 2000(?)



John and Yoko, années 1970




Egon Schiele
"Le prédicateur" 1913




Homme couché sur la rampe du quai près du marais, oct 2010
C'est en passant, discrètement, que j'ai photographié l'inconnu. Dormait-il? 

3 commentaires:

  1. Le dessin est extraordinairement moderne ! Mais je ne vois pas où est "le prédicateur" ... Pour ma part je ne trouve rien d'érotique dans cette interprétation bien que j'en apprécie l'esthétique mais je comprendrais qu'un regard féminin puisse y trouver un intérêt autre qu'artistique: la stylisation des lignes de découpe d'une jeune musculature longiligne sur un squelette léger mais robuste pourrait induire des images érotiques...
    Daniel

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  2. Les yeux ou le regard des femmes.
    De Schiele à Freud, presque un siècle.Des images du corps au regard de la femme, une distance.
    Le "Prédicateur" a la main large sur son corps maigre ou androgyne. Ou il vient de donner une bénédiction ou il s'est affairé à une masturbation. Le même bien être.

    Pour Freud...la veillesse encore belle, l'homme trvaillant à son travail de peintre.
    L'oeuvre de Freud est paticulièrement intéressante. Un réalisme dérangeant...une débauche de naturalisme. Intensification du réel.
    Ni pompiers aux gros muscles, ni éphèbes, ni homo se montrant à ses emblables.
    Je sais...je veux
    Renée
    Contente Daniel de ton point de vue. Certains en ont

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  3. Le 'Prédicateur' présente une analogie marquante aux canons imposés en design de mode, utilisant des longueurs disproportionnées pour mettre en soit disant 'valeur' les vêtements. Ces disproportions sont évidentes sur un corps nu, tel le tableau de Schiele, mais j'apprécie les découpages anatomiques le tout offrant une apparence très contemporaine. Diane

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